>> Toutes les rubriques <<
· J'écris (118)
· J'écoute (36)
· Je lis (15)
· Peinturlures sublissimes (2)
· Zooms (2)
...m'était conté, il prendrait l'arc en ciel de mes humeurs, danserait sur le fil de mes pensées et se briserait sur mes envies.
bonjour, je cherche à retrouver le texte complet de ce sonnet de michel-ange, dans cette traduction. pouvez-vo
Par Anonyme, le 23.08.2021
esprit virtuose,
pou r précieuse amazone,
vos papillons en abondances,
f leurissent aux rythmique d'une cer
Par drakovac mirsad, le 28.11.2017
clara se fait rare... ;) http://babayag a.centerblog.n et
Par babayaga, le 28.03.2014
tourrrnicotiii ...tournicotaa a...trois petits tours de manège, légers comme un arpège...http ://babayaga.ce n
Par babayaga, le 30.12.2013
belle vision d'un ailleurs en marche... j'aime ;)http://babay aga.centerblog .net
Par babayaga, le 16.12.2013
Date de création : 08.05.2011
Dernière mise à jour :
03.08.2019
175 articles
Le tableau représente l'exécution de 43 patriotes espagnols, fusillés par les soldats français à Madrid le 3 mai 1808, pendant la nuit. La veille, la foule madrilène, qui manifestait pour le retour du roi Ferdinand VII – dont Napoléon Ier avait provoqué l'abdication pour installer sur son trône son propre frère Joseph –, avait affronté les cavaliers mamelouks envoyés contre elle par Murat (cet événement est représenté dans un autre tableau de Goya, El dos de mayo).
Dans la nuit du 3 mai, les représailles furent spectaculaires. C'est cet épisode tragique que Goya, qui fut témoin de la férocité absurde de la guerre et de ses atrocités, retient, en 1814, pour symboliser la « glorieuse insurrection contre le tyran de l'Europe », mettant au service de cette commande officielle toute la puissance de ses moyens, simples et raffinés. Le héros populaire, victime lumineuse, se dresse au cœur de l'obscurité : celle d'un ciel noir et d'un paysage urbain qui l'écrase, et celle des hommes réduits à n'être que des machines à tuer.
El tres de mayo a trouvé en Eugenio d'Ors y Rovira son interprète le plus éloquent : « Barbu, presque nègre, grotesque et sublime, manant et archange, anonyme et immortel, ce Madrilène rebelle est pour nous la Révolution. Jamais on n'a peint avec autant de liberté. Jamais on n'a brisé aussi effrontément, aussi violemment, avec une tradition. Ici palpite, nue, irrationnelle, la vie même. »
flûte une mauvaise manip a effacé mon comm...bis repetita placet je répète, donc: j'aime le nouveau visage de ton blog! En particulier "tu ne perds rien pour attendre..."Les peintres de la bannière? Je tente "Schiele" pour le 3ème tableau, mais pas sûre du tout; Degas, Toulouse-lautrec pour le second? -je me ridiculise peut-être? en même temps le ridicule ne tue pas, ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort, oups j'ai comme une poussée de biceps à la Popeye, CQFD ...
Bises babayaguino-perplexes !
http://babayaga.centerblog.net
non non Bab , il s'agit d'artistes bien présents dans notre XXIème qui chavire bien plus que moi en ce moment.Gallery concorde dans le 15ème. Et pour les peintures au pochoir avec p'tits textes toujours percutants, c'est Miss Tic.
http://eve-lisa.centerblog.net
Des toiles qui percutent et me chahutent en tout cas.http://babayaga.centerblog.net
Ecrire un commentaire