"La dépression représente malgré ou grâce à la souffrance qu'elle déclenche, une formidable occasion de renouvellement, une épreuve pour grandir, exhortant le sujet à devenir soi à s'aimer enfin et à s'occuper de lui-même, en cessant de se sacrifier masochistement au profit des autres, pour se sentir reconnu et aimé."

Ah ! se sentir reconnu et aimé, on en fait des choses ou pas pour ça !...

Un paragraphe noté dans " le fils et son père":

" Selon le Talmud, lorque le Saint distribua les dix doses de la paroles du haut du Ciel, les femmes réussirent à en attraper neuf. Chez l'homme, le blocage de la parole, le défaut de cette soupape de sécurité aggrave la vulnérabilité psycho. Les taux de suicide réussis, de troubles graves de la personnalité (psychoses, perversions) sans parler des affections psychosomatiques sont nettement supérieurs à ceux de la femme "

La parole messieurs ! Oui la parole sauve ! Enfin, elle ne résoud pas tout, encore faut il l'utiliser sans blesser...

Somme toute, je me posais toujours cette question : Pourquoi les pervers sont ils en principe des hommes, je dis bien en principe ! Encore une histoire d'amour derrière tout ça... sans parole... la mère ? Hum ! Ne lui mettons pas tout sur le dos. L'absence ressentie de père ? sans parole... Ou les deux... Histoire sans parole ou baillonné c'est pareil.

La vulnérabilité de l'homme vu par un homme - Enfin vous avez le droit d'être fragiles messieurs, c'est expliqué, sans que votre virilité soit atteinte !

Mais nous l'avons toujours su, nous les femmes, que vous êtes fragiles, que vous gardez votre âme d'enfant :) Je vous envie, cela vous est permis...Dur,dur d'être mère par les temps qui courent ; )

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